EXTERIEUR - VUES PANORAMIQUES - LAS VEGAS – JOURNEE
VUE D'UNE VILLA – VOITURE QUI ENTRE – JOURNEE
LE JARDINIER: (en s'adressant aux chiens) Ben! Ben alors? Mais comment vous êtes sortis vous deux??
Qu'est-ce que vous avez à aboyer? On se calme, allez!
EXTERIEUR - JARDIN – L'EQUIPE DU CSI – DE JOUR
CATHERINE WILLOWS: (en parlant a l'agent de police qui venait de la laisser passer sur la scène de crime) Merci!
AGENT SAM VEGA: Attendez! Une petite seconde!
CATHERINE WILLOWS: D'accord...
(Puis, quelques secondes plus tard... en s'adressant a Gil Grissom) Est-ce que vous êtes entrée?
(Grissom lui faisant un signe avec sa main pour lui dire de se taire tout en étant accroupi sur le sol cherchant quelque chose...)
CATHERINE WILLOWS: Qu'est-ce que c'est?
GIL GRISSOM: Et voilà lieutenant!
AGENT SAM VEGA: Merci. Je suis crevé ce matin, j'ai pas arrêté!
CATHERINE WILLOWS: Ouais! Bienvenue au club!
GIL GRISSOM: Bonjour Catherine!
CATHERINE WILLOWS: Bonjour Gil! C'est donc la que vivait Tony Braun?! Le fils de Sam Braun.
GIL GRISSOM: Sam Braun? Le célèbre directeur de casino?
CATHERINE WILLOWS: Lui même! Sam a débarqué à Las Vegas au moment où la ville a commencé à déclinée. Il a monté 3 casinos en 1 an. Il avait des liens avec la mafia.
JIM BRASS: Je prendrais bien le jardinier de Tony Braun avec moi... il a tout flairé depuis le debut! Pourquoi le garage était fermé, pourquoi la grille était ouverte, pourquoi les chiens en libertés... A+B+C= j'appelle la police!
GIL GRISSOM: (en examinant le corps et les alentours) Tout semble tout propre et trop ranger...
CATHERINE WILLOWS: Il a chassé le dragon. Il chauffait de l'héroïne la dedans et inaller la fumée.
GIL GRISSOM: Il a pris des anxiolitiques. 100 pilules. L'ordonnance a été délivrée hier!
JIM BRASS: Alors tout se qu'on raconte sur Tonny Braun est vrai? Sa serait une overdose?
CATHERINE WILLOWS: Ouais! Apparemment...
GIL GRISSOM: Si sa pouvait être si simple!
INTERIEUR - SALON DE TONY BRAUN – DE JOUR
SARA SIDLE: (Après avoir pris des photos, et donner les pellicules a un homme) Huit rouleaux à développés en double! Vous le faite en urgence le dossier est chaud!
L'HOMME: Entendu!
SARA SIDLE: Quelqu'un a perdu une boucle d'oreille?
GIL GRISSOM: Apparemment oui. Il a un résidu de substance adhésive sur les poignets.
SARA SIDLE: On a du l'attaché avec du ruban adhésif.
GIL GRISSOM: Oui, ça m'en a tout l'air!
SARA SIDLE: Il était avec quelqu'un...
GIL GRISSOM: (Lui coupant la parole) Attendu!... ou indésirable!
SARA SIDLE: Ou est la purge? Une bielle qui coule entraîne une fuite d'huile si il y a eu overdose... ou sont passé les fluides, urine, vomi, excréments?
GIL GRISSOM: On aurait fait la toilette du mort?
SARA SIDLE: Intéressant c'est suçons sur la poitrine.
GIL GRISSOM: Ouais, c'est pas banal.
SARA SIDLE: Et sa posture! Elle n'est pas naturelle! Comment avez-vous su que c'était un meurtre et non une overdose?
GIL GRISSOM: Comment j'ai su?
SARA SIDLE: Oui.
GIL GRISSOM: Parce-que j'ai vu la télé!
EXTERIEUR – JARDIN DE TONY BRAUN – DE JOUR
CATHERINE WILLOWS: (s'adressant à Nick caressant les chiens) Tu veut que je te dise? Si ces chiens était mes chiens, je ne laisserait pas cet grille ouverte!
NICK STOKES: Ha ba d'un autre coté, leur maître était accro à l'héroïne, et donc irresponsable!
CATHERINE WILLOWS: Selon le jardinier, c'est la première fois en cinq ans, qui l'a trouvé la grille ouverte.
NICK STOKES: Pourquoi se matin spécialement?
CATHERINE WILLOWS: Je ne sais pas, mais c'était le dernier de la vie de Tony Braun. En tout cas on l'a ouverte de l'intérieur ou, ou quelqu'un avait une clef parce-que la serrure n'a pas été forcée... ni avec un pied de biche, ni même avec une scie...
NICK STOKES: Alors? On dit qu'elle a été ouverte comment?
INTERIEUR – CHAMBRE DE TONY BRAUN – DE JOUR
WARRICK BROWN: (Examinant la commode) Les confettis d'un héroïnomane, se qui reste quand la fête est finie...
Héroïne de première qualité, c'est toute la différence en une limousine et une camionnette.
JIM BRASS: Comment vous savez sa?
WARRICK BROWN:C'est mon job. J'en suis déjà a six ballons et je n'ait encore fouiller que la chambre! Le dealer a dû descendre par la cheminée! C'est Noël en plein mois de Juillet!
Il n'était pas en rupture de stock pourtant!
JIM BRASS: Ouais! A croire qu'il avait une pilule pour tout! Vous pouvez relevez les empreintes sur les ballons?
WARRICK BROWN: Ouais, et même sur de l'air.
INTERIEUR – CUISINE DE TONY BRAUN – DE JOUR
GIL GRISSOM: Toujours rien?
SARA SIDLE: Rien! Et j'ai presque fouiller toutes les poubelles de la maison!
GIL GRISSOM: Et les poubelles qui sont dehors?
SARA SIDLE: Celles que j'ai fouiller en premiers, rien!
EXTERIEUR – JARDIN DE TONY BRAUN – DE JOUR
(Nick relève une empreinte sur la porte de derrière)
INTERIEUR – SALLE D'AUTOPSIE DU LABORATOIRE SCIENTIFIQUE
GIL GRISSOM: Salut Doc!
DOCTEUR ROBBINS: Ma jambe m'a lâcher! Je me suis toujours demander quelle médecin légiste allait découper Tony! Toute la ville connaissait sa vie. Sexe, drogue et compte en banque dégarni...
Aucune traces de piqûres sur les bras! Mais comme il jouait au golf, il portait des manches courtes.
J'ai examiner ces testicules, regarder entre les doigts de pieds, tout se qui la pris passait par le nez! C'est cloisons nasale ressemble a de la viande haché.
GIL GRISSOM: Et ces écorchure autour de la bouche, d'où viennent-elles? C'est si dur de se raser quand ont est défoncé?
DOCTEUR ROBBINS: Se sont des marques de pressions. Elles apparaissent si quelqu'un place un oreiller ou objet contre votre nez ou contre votre bouche et que vous vous débattez!
GIL GRISSOM:: Et ces petites taches rouges violacées, c'est signe qu'il y a eu étouffement?
DOCTEUR ROBBINS: Pas toujours. A moins de prendre la médecine légale pour une science absolue! Se qu'elle n'est pas!
Une rupture de vaisseaux peut survenir dans des circonstances banales, tel que, une toux violente.
GIL GRISSOM: Et ces trois aréoles rouges qui a sur la la poitrine? C'est pas des piqûres d'insectes!
DOCTEUR ROBBINS: Je n'est décelé aucune toxine, mais il n'est pas exclu... que se soit une auxiliaire médicale un peu trop zélé qui soit à l'origine de toutes ces marques.
GIL GRISSOM: Nan il n'y a pas eu réanimation.
DOCTEUR ROBBINS: Dans se cas, je ne sais pas!
GIL GRISSOM: C'est rare de faire une overdose rien qu'en inhalent de l'héroïne! Je suis sur qu'on la attaché, se qui me pousse a penser que, on a du le forcer à avaler des doses létales d'héroïne et de xanax.
EXTERIEUR – HALL D'ENTREE DE LA MAISON DE TONY BRAUN – DEBUT D'APRES MIDI
PETITE AMIE DE TONY (JEANINE EWOOD): Ha! Excuser-moi!!! (D'un ton agacé)
JIM BRASS: (En parlant a Catherine) Ha, je peut m'en chargé!
JEANINE EWOOD: (En parlant à Jim et Catherine) Vous avez du pot que mon avocat soit en train de jouer au golf! Sa fait des heures que je suis là, en plein soleil, à répondre à des tas de questions complètement débile! Vous voulez une réponse? C'est ma maison! D'accord? En tout cas elle m'appartient à 50%!
CATHERINE WILLOWS: Qui est-ce?
JIM BRASS: La petite amie de Braun une ancienne strip-teaseuse. Vous ne l'auriez pas rencontré quand vous fessiez le même boulot?
JEANINE EWOOD: (S'adressant aux policiers) Hé! Hé! Hé! Attendez! C'est à moi sa! Qu'est-ce que vous faites?
CATHERINE WILLOWS: Et??? Ou était-elle pendant ces douze dernières heures??
JIM BRASS: Et ba voyons... je la cite: '' Absente'' Fin de citation. Quand le dealer est arriver elle est partie, elle aurait dormie chez une amie. Elle détestait la façon dont-il se conduisait avec elle quand il se mettait a planer!
JEANINE EWOOD: (Avec la camera a la main) Écoutez! Si jamais un truc disparaît dans se qu'ils ont prit je vous ajoute dans ma liste de gens à attaquez!
JIM BRASS: Vous devriez ranger cet camera avant que l'on vous arrête, d'accord?
JEANINE EWOOD: Je vous signale que vous êtes dans ma maison!
CATHERINE WILLOWS: Pour l'instant, votre maison est le lieu du crime! Et ont peut y faire se qu'il nous plaît! Et même prendre, vos empreintes!
JEANINE EWOOD: Pourquoi? J'ai rien fait moi!
CATHERINE WILLOWS: (en prenant ses empreintes) Un coup de pouce?
JEANINE EWOOD: Écoutez! Je vient juste de perdre mon mec! D'accord? Vous êtes une femme, vous pouvez comprendre que j'assure mes arrières! C'est vrai quoi?! Y'a plein de choses qui sont en-train de disparaître! Si Tony était la, il vous dirait qu'il faut veiller sur Jeanine et sur sont avenir!
JIM BRASS: C'est le boulot de votre avocat sa!
JEANINE EWOOD: Hé!! Je vais hérité moi!
CATHERINE WILLOWS: Sa va d'çoi!
JIM BRASS: Et oui!
EXTERIEUR – VUE PANORAMIQUE DE L'HOTEL ET CASINO TANGIERS – APRES-MIDI
INTERIEUR – HOTEL ET CASINO TANGIERS
LA RECEPTIONISTE: (S'adressant à Catherine) Que puis-je pour vous?
CATHERINE WILLOWS: Est-ce que Sam Braun est là?
LA RECEPTIONISTE: Je regrette aujourd'hui il ne reçoit personne!
CATHERINE WILLOWS: Voulez-vous lui dire que Catherine Willows souhaiterait lui parler.
LA RECEPTIONISTE: Un instant je vous prie!
SAM BRAUN: (Qui venait d'arriver en douce derrière Catherine) Frimousse?
(Quelque minutes plus tard... se promenant dans le casino)
SAM BRAUN: Je me rappelle la toute première fois que je t'ai vu! Tu n'avait rien sur le dos!
CATHERINE WILLOWS: Oui! Mais sa c'était il y a très longtemps!
SAM BRAUN: Je t'aurait bien ramener chez moi tout se suite si j'avais dû.
CATHERINE WILLOWS: Oui je sais, mais tu étais marié et je n'était qu'un bébé! Sa ne pouvait pas marcher!
Alors Sam? Comment sa va à par sa?
L'UN DES FILS DE SAM BRAUN (Walt Braun): Hé papa! Les gens de la presse ont envahie le parking qu'est-ce que je fait je règle sa tout seul ou j'appelle la sécurité?
SAM BRAUN:: Laisse je m'en occupe! Retourne au casino avant que quelqu'un ne s'avise de nous rafler du fric!
(Quelque minutes plus tard, au bar...)
SAM BRAUN: Tu sais, c'était en... en 1967! J'avais dans les 20 ans. J'étais au comptoir d'un troquet du centre ville de Buffalo. A l'autre coté du comptoir un footballeur professionnel buvait double scotch sur double scotch paraît qu'il était la depuis la veille au soir minuit c'était un Dimanche, un jour de match en plus! Alors tu sais se que j'ai fait? J'ai appeler mon bouc' et j'ai parier contre lui! Et tu sais quoi? Il a quand même réussi a marquer a marquer six tache down se petit salaud! Hahahaha!
CATHERINE WILLOWS: Hinhinhin... tout à fait le style de Tony!
SAM BRAUN: Tu sais? Même quand Tony était beurrer, il était plus éficasse que tout ces jeunes loups sortis de Harvard! Je ne dit pas sa seulement parce-que c'est mon fils, Tony était le meilleur directeur de casino que Las Vegas est connu! D'ailleurs je vais te faire une confidence! Je n'arrivait même pas à la cheville de se gamin. Et maintenant... il est mort... d'une overdose...
CATHERINE WILLOWS: Sam! Plus le pied d'estalle est grand, plus la cible est voyante!
SAM BRAUN: Personne n'attendra cette cible sans m'avoir atteint avant!
CATHERINE WILLOWS: Dans les affaires. Mais au niveau personnelle?
SAM BRAUN: Qu'est-ce que tu veut dire?
CATHERINE WILLOWS: Tu n'a jamais discuter avec lui de ses petites amies?
SAM BRAUN: Mais de laquelle? Elle voulait toutes sans exception lui faire cracher son or!
CATHERINE WILLOWS: Jeanine Hewood.
SAM BRAUN: C'est la pire! Et c'est elle qui l'aimait le plus. Est-ce que tu peut croire sa?
CATHERINE WILLOWS: Ouais, je le croit...
SAM BRAUN: (Après avoir bu) Si je l'ait bien cerné, maintenant qu'elle a l'or, elle va vouloir mètre ma main sur l'argent.
INTERIEUR – LABORATOIRE SCIENTIFIQUE – DANS LA JOURNEE
(Gil Grissom vient de découvrir six empreintes sur le flacon de pilules)
CATHERINE WILLOWS: A gauche, les empreintes de Tony qu'ont a eu par le médecin légiste. A droite, celle de la croqueuse de diamants que j'ai eu par Jeanine Hewood.
GIL GRISSOM: C'est la que sa devient intéressant! J'ai six empreintes sur ce flacon.
CATHERINE WILLOWS: Et?
GIL GRISSOM: Toutes viennent de la même personne!
CATHERINE WILLOWS: C'est une bonne ou une... mauvaise nouvelle?
GIL GRISSOM: Une bonne pour nous... une mauvaise pour Jeanine Hewood!
INTERIEUR – COULOIR DU CSI
(Gil Grissom vient de quitter sont bureau avec un café, pas très bon... Warrick venait de le rejoindre)
WARRICK BROWN: Vous n'auriez pas vu Brass?
GIL GRISSOM: Hum? Pas se soir non! Pourquoi?
WARRICK BROWN: Baaaa! Empreinte sur de l'air, ballon orange, sciano-acrilate... plan fouareu c'est celle du dealer!
(Grissom et Sara viennent de se bousculés)
SARA SIDLE: Hoo! Attention! Des preuves!
GIL GRISSOM: Trouvés ou?
SARA SIDLE: Dans une vielle boite de crackers à l'intérieur de la poubelle, et comme je ne veut pas perdre une miette d'empreinte, et que je ne suis pas sans savoir que le froid conserve, je vais les mettre aux congelo!
INTERIEUR – SALLE DE REPOS
(Nick est déjà dans la pièce, Grissom le rejoind)
GIL GRISSOM: (A Nick) Vous avez goutté se café??
NICK STOKES: Hum Hum.
GIL GRISSOM: Je trouve qu'il a un goût d'huile de moteur!
(Greg Sanders arrive en courant à toutes vitesses dans la salle)
GREG SANDERS: Hééé! Toucher pas à sa c'est mon café!
GIL GRISSOM: Votre café?
GREG SANDERS: Ouais! Du café de mon stock personnelle quoi! C'est du Blue Hawaïen! 40$ la livre! Deux récoltes seulement par an, et bien sûr cueilli a la main avec le plus grand soin...
GIL GRISSOM: D'accord! Mais vous vous servez de mon eau se qui en fait le café de tout le monde! Je vous en sert un Nick?
NICK STOKES: Nan! Merci.
GIL GRISSOM: Qu'est-ce que vous avez à la jambe?
NICK STOKES: Hin, si je savait. J'ai du me faire piquer par un insecte quand j'étais chez Braun.
GREG SANDERS: Tu met de l'alcool sur les piqûres? C'est pire que du beurre sur une brûlure! C'est contre-indiqué!
NICK STOKES: C'est toi qui m'a conseillé de mettre de la crème anti-hémorroïde sur mon acné!
GREG SANDERS: Sa a marcher nan?
GIL GRISSOM: (Désignant sa tasse de café, après que Greg soit reparti avec le paquet) Est plutôt bon!
Je peut voir voir votre jambe avant que sa se gangraine? Piqûres d'aouta!
GIL GRISSOM: Ha oui?
GIL GRISSOM: Vous avez du vous faire piquer dans le jardin de Braun se matin. Catherine doit avoir du verni a ongle transparant sa empêche l'air de passer et les démangeaisons! Et au faite heu... la trappe heu... la p'tite porte des chiens?
NICK STOKES: Ba ont sais qu'un animal à deux pattes est passer par là, et j'ai des empreintes partielles, le labo y travaille déjà.
GIL GRISSOM: Penser a les comparer à celles de Jeanine Hewood.
INTERIEUR – SALLE D'AUTOPSIE
DOCTEUR ROBBINS: Voilà se que sont estomac contenait! Peu d'aliments, beaucoup de drogue!
GIL GRISSOM: Du xanax?
DOCTEUR ROBBINS: Et de l'héroïne.
CATHERINE WILLOWS: Je croyais qu'il l'inhalait?
DOCTEUR ROBBINS: L'inhalait, et l'ingérait!
CATHERINE WILLOWS: Il l'a avaler?
DOCTEUR ROBBINS: De toute évidence.
GIL GRISSOM: (Examinant le flacon) Où sont toute les pilules non dissoutes?
DOCTEUR ROBBINS: Je n'en ait pas trouvées.
GIL GRISSOM: La mort par overdose survient avant la fin de la digestion?
DOCTEUR ROBBINS: A mon avis on a écrasés les comprimer de xanax et on les a dilués dans du vin rouge que j'ai trouvé par contre.
GIL GRISSOM: A ouais. Que peut-ont en conclure sur se qu'il c'est passer?
CATHERINE WILLOWS: Tony Braun était accro à l'héroïne et sans doute charger a bloc avant de mourir se qui veut dire très probablement aussi doux qu'un agneau.
GIL GRISSOM: C'était donc facile de l'attacher, sans qu'il résiste.
CATHERINE WILLOWS: Et après de lui faire boire la substance. Il était plus simple pour l'assassin de lui verser du liquide dans la gorge que lui faire prendre une centaine de pilules.
DOCTEUR ROBBINS: Nan pas une centaine de pilules!
GIL GRISSOM: Contient?
DOCTEUR ROBBINS: Si j'en croit mon expérience je dirais pas plus de 50.
VUE PANORAMIQUE DE LAS VAGAS – DE NUIT
JIM BRASS: Rien qu'a voir tes pupilles je pourrais te faire coffrer sur le champ!
LE DEALER DE TONY BRAUN: C'est des larmes que vous voyer! Je suis en deuil je vous signal! Je vient de perdre un client moi, en faite c'est comme si j'avais perdu mon boulot!
WARRICK BROWN: Tu fessait l'épicier pour Tony Braun?
LE DEALER: Je fessait que les livraisons.
JIM BRASS: Ta dernière livraison date de quand?
LE DEALER: La nuit avant qui crève. Vers 9h00, sa nana vous le diras! Haaa, c'est une fille géniale.
JIM BRASS: Elle a dit qu'elle était partie quand tu est arriver.
LE DEALER: Nan, elle est resté un peu. J'ai livré mes ballons, Braun m'a payé et elle m'a filer un pourboire.
JIM BRASS: Une pourboire? Elle t'a donner quoi? Une image?
LE DEALER: Hin!....... Nan... 30 xanaduses
WARRICK BROWN: Des xanaxes?
DANS UN HOTEL DE LAS VEGAS – DE NUIT
JEANINE EWOOD: Je les ait fait tomber dans le lavabo je vous dit!
JIM BRASS: On me la jamais servie celle-là...
JEANINE EWOOD: Écoutez! J'en ai garder deux! J'en ait donner deux a Tony et sans le faire exprès j'en ait fait tomber 50 ou 20 dans le trou du lavabo! C'était un accident! Vous savez? Un accident! Vous avez jamais renversé un verre? (En s'adressant a Catherine)
CATHERINE WILLOWS: Pas ces temps si! Ont a trouvés 50 xanaxs dans l'estomac de Braun!
JEANINE EWOOD: J'y suis pour rien! J'étaie partie!
CATHERINE WILLOWS: Vous étiez partie dite-vous? Comment expliquer-vous vos empreintes sur le flacon?
JEANINE EWOOD: Je suis allez à la pharmacie! J'ai attendue mon tour... payée les médicaments... donner notre adresse et puis j'ai apporter le tout a Tony. Il savait rien faire par lui même. Sauf bosser... et se défoncer.
JIM BRASS: Et vous offrir une belle limousine de luxe!
JEANINE EWOOD: Ouais exacte! Et aussi la robe que je vais porter a son enterrement!
JIM BRASS: Quand vous avez quitter votre moitié de maison, vous êtes allez ou?
JEANINE EWOOD: Chez une amie.
JIM BRASS: On lui téléphone?
JEANINE EWOOD: Elle est en week-end!
JIM BRASS: Attendez que je devine... elle est... ''No communicado'' ?
JEANINE EWOOD: Si sa veut dire qu'ont peut pas la joindre, oui!
INTERIEUR – COULOIR DU CSI – DE NUIT
CATHERINE WILLOWS: Attention, c'est fragile! (En s'adressant à deux personne qui viennent de la bousculer)
INTERIEUR – LABORATOIRE ADN – DE NUIT – 2 SECONDES PLUS TARD
GIL GRISSOM: Sa fait 24 minutes Greg! Vous devriez avoir fini!
GREG SANDERS: Sauf votre respect monsieur c'est pas une mentalo! C'est le sang de Braun, et avec toutes les impuretées qu'il y a dedans sa pourrait durer encore un certain temps. Je vous est jamais dit que j'avais vécu a New-York?
GIL GRISSOM: Dites, heu, vous allez m'en faire une nouvelle ou un roman?
GREG SANDERS: Excusez-moi. L'héroïne a une demie vie de 9 minutes, apres elle se métabolise en morphine.
GIL GRISSOM: Le taux de monoacétile morphine?
GREG SANDERS: 0.158g/Litre, vraiment pas de quoi y rester! Idem avec le xanax, pilules à 250, 100micro-gramme par Litre. Pas de quoi crever non plus! Y'a des camer a Time-Square qui ont plus de drogues que sa dans le corps.
GIL GRISSOM: Donc Braun devrait être encore de se monde.
Et le, le but de votre histoire sur New-York c'était...
GREG SANDERS: Oui! Qu'il existe une autre façon de prendre de l'héro' ! En suppositoire qu'on s'enfonce où je pense ensuite on se tient sur la tête et on laisse faire la gravitée.
(Grissom stupéfait, ne dit rien, ne bouge pas...)
GREG SANDERS: C'est pas grave...
INTERIEUR – GARAGE DU CSI – DE NUIT
GIL GRISSOM: Braun n'est pas mort d'une overdose! Que se soit accidentellement ou pas!
CATHERINE WILLOWS: Je m'en doutais! Alors pourquoi le mannequin? La chemise de Tony...
GIL GRISSOM: Le Docteur Robbins la ouvert il avait les poumons tout comprimés, vous vous rappeler ''Beurk et Haire'' ? Les deux voleurs de cadavres écossais du 19ème siècle? Pour gagné leur vie ils soulaient d'innocentes victimes et les étouffait, puis vendait leur cadavres à des écoles de médecines sa a marcher jusqu'au jour ou un étudiant a découvert sa fiancée sur une des tables!
CATHERINE WILLOWS: C'est grâce à ces deux lascars qu'est né votre vocation?
GIL GRISSOM: Hum. Jeanine Hewood affirme qu'elle a quittée la maison lorsque le dealer est arriver. Je croit qu'elle est revenue.
CATHERINE WILLOWS: Et braun devait bien en être à son troisième, ou quatrième ballon.
FLASHBACK – INTERIEUR – SALON DE TONY – JOURNEE
GIL GRISSOM: Il était donc facile de lui attacher les mains. De broyer 50 comprimés.
FLASHBACK – INTERIEUR – SALON DE TONY – JOURNEE
GIL GRISSOM: Et de le forcer à avaler un cocktail de xanax. Bref, tout se passait bien jusqu'à se que le jardinier arrive, là, elle perd son sang-froid, et cède a la panique... droguer quelqu'un jusqu'à l'overdose sa prend du temps, elle n'en a pas! Beurk s'agenouillait sur la poitrine de ces victimes d'accord? Et leurs couvraient la bouche et le nez.
CATHERINE WILLOWS: En plus quand on est drogué, on est mou. Et si on est malmené, on est encore plus mou. Comme sa!
FLASHBACK – INTERIEUR – SALON DE TONY – JOURNEE
CATHERINE WILLOWS: Il a été étouffé!
(Sonnerie de téléphone)
GIL GRISSOM: Grissom.
Crr..rr.rrrr....r sortie blue daimon crr...rr..r
GIL GRISSOM: Ou??
crr... r.rr. Un type en ...crr.r..rrr
GIL GRISSOM: Brass, je vous entend très mal!
(En s'adressant a Catherine) Il a dit qu'il était a blue daimont, une histoire d'esclavation...
EXTERIEUR – DESERT DU NEVADA – APRES MIDI
CURT RITTEN: Hé hé hé! Qu'est-ce qui se passe là?
JIM BRASS: J'ai jamais dit qu'il faut demander avant de creuser?
CURT RITTEN: J'ai la permission de creuser!
JIM BRASS: Ha ouais? Et la permission de qui? D'un cadavre? Vous vous appelez comment?
CURT RITTEN: Je m'appelle Curt Ritten! Écoutez, Tony Braun était un ami à moi d'accord! Se terrain lui appartenait et il y a peut près un moi il m'a appeler pour me dire que si il lui arrivait malheur, je vienne ici, et je sauve se qui est à lui à n'importe quelle prix! C'est se que je fait!
JIM BRASS: Soyez gentil Curt Ritten, vous posez votre pelle....... et vous vous mettez là.
CURT RITTEN: D'accord!
CATHERINE WILLOWS: Peut-être que Jeanine avait un complice?!
JIM BRASS: Vous venez? Si vous voulez jetez un oeil la dessous.
GIL GRISSOM: Un nuage noir éclaire la nuit de sa bordure argenté.
CATHERINE WILLOWS: Sa fait un sacré mobile!
GIL GRISSOM: Des tonnes d'argents!
INTERIEUR – LABORATOIRE SCIENTIFIQUE – FIN DE JOURNEE
WARRICK BRAUN: (A Sara, qui vient de découvrir une empreinte...) Et voilà! Trois rouleaux de ruban trouvée dans le camion de Ritten.
SARA SIDLE: Interresant! Voyons si mon empreinte vient d'un de ses rouleaux.
WARRICK BRAUN: Perdu...
SARA SIDLE: Soit pas défaitiste! Tu préfère marquer un but en début ou en fin de match? Je peut te poser un question? Braun amassait de l'argent, des pièces, des lingots, 23 tonnes caché sous terre, mais pourquoi a Blue Daimon?
WARRICK BRAUN: Parce-qu'il était malin! Ses 20 dernières années la valeurs de l'argent est tombée en chute libre et quand on confit des lingots à un courtier il vous facture des droits de gardes maximum! Et la seule chose qui soit pire que de voir son argent perdre 7 à 8% de sa valeur chaque années c'est de le voir perdre 9 à 10% de sa valeur à cause des droits de gardes.
SARA SIDLE: A quoi sa sert de garder un trésor si t'es mort?
WARRICK BRAUN: Sa dépend de qui sonnait la cachette! Ha sa y est! Cette fois la correspondance est parfaite entre rouleau et rubans, et Curt et Tony!
EXTERIEUR – DESERT DU NEVADA – FIN DE JOURNEE
CURT RITTEN: Vous m'arrêter parce-que je creusait?
JIM BRASS: Nan! Pour vol, et association de malfaiteur.
CURT RITTEN: Tony voulait que je transfert ces lingots d'argents dans son ranch, je ne fait que lui obéir!
GIL GRISSOM: M. Ritten! Il semblerai que nous ayons des preuves matériels de votre implication dans l'assassinat de Tony Braun.
CURT RITTEN: Écoutez! J'ai rien à voir avec ses histoires de drogues je vous le jure! J'ai pas toucher à cet saletée depuis des années même que je disait a Tony en tant qu'ami d'arrêter d'arrêter, de décrocher!
JIM BRASS: Comment saviez-vous ou l'argent était planqué?
CURT RITTEN: C'est moi qui est construit la cage pour le planquer! Je suis entrepreneur, c'est mon gagne pain!
JIM BRASS: Vous avez travaillez chez lui?
CURT RITTEN: Nan! Il m'avait... il m'avait plus ou moins demander de lui construire un sous-sol une fois, seulement, sa c'est jamais fait!
JIM BRASS: Donc vous êtes allez chez lui!
CURT RITTEN: Mais ont était des amis! Je suis allez chez lui plein de fois j'étais même allez y'a 15 jours ont a regarder un match de foot à la télé!
GIL GRISSOM: Vous y avez déjà laisser quelque chose? Disons apporter quelque chose en allant le voir?
CURT RITTEN: Oui j'ai apporter six bières, un pack de chips et des olives aussi.
JIM BRASS: Pas d'outils de travail? Comme par exemple, un marteau? Du ruban adhésif?
CURT RITTEN: Non! Pourquoi j'aurais fait sa! Je voit même pas du tout de quoi vous voulez parlez!
JIM BRASS: Vous savez, se que vous nous dites pas, ont finira par le trouver!
INTERIEUR – MAISON DE M ET MME RITTEN – FIN DE JOURNEE
AGENT SAM VEGA: C'est la première fois qu'il m'en délivre une aussi vite!
CATHERINE WILLOWS:: Oui! La famille Braun a la bras long! Vous ne m'avez pas dit que la femme de Ritten vivait a Carson City?
AGENT SAM VEGA: En fait, il y vive tout les deux, mais lui n'habite ici que quand il travaille.
CATHERINE WILLOWS: Ou qu'il déterre de l'argent.
(Craquement, et fenêtre qui se ferme)
CATHERINE WILLOWS: Madame Ritten? C'est la police scientifique!
AGENT SAM VEGA: (L'arme au point, marchand vers la salle de bain) Il y a quelqu'un?
JEANINE HEWOOD: HAAAAAA!!! Vous m'avez fait une de ces peur! Comment vous êtes entrés ici?
CATHERINE WILLOWS: Je pourrait vous poser la même question!
INTERIEUR – LABORATOIRE SCIENTIFIQUE – BUREAU DES EMPREINTES DIGITALES – SOIREE
WARRICK BRAUN: C'est invraisemblable voyons ces rouleaux ont étés trouvés dans son camion.
SARA SIDLE: Ces empreintes ne serait ni les viennent, ni celle de la fille?
MANDY: Oui enfin si leurs noms sont Curt Ritten et Jeanine Hewood la réponse est non!
SARA SIDLE: C'est absurde!
WARRICK BRAUN: Doit y avoir un bug dans se truc!
MANDY: C'est peut-être pas les bon suspects!
WARRICK BRAUN: Facile a dire, quand on passe son temps a scanner des empreintes et à appuyer sur entreé.
MANDY: Nan mais pour qui vous vous prenez? Sara, je vous laisse faire!
NICK STOKES: Mandy! Prouve moi que tu a du génie!
MANDY: Je t'en ficherait du génie, pfft. Voilà tes empreintes. Bon, bah faut que je fasse une pause, salut!
WARRICK BRAUN: Voyez se que je veut dire.
SARA SIDLE: Empreintes non identifiées?
NICK STOKES: Nan, se sont celles de Walt Braun!
INTERIEUR – COULOIR DU LABORATOIRE SCIENTIFIQUE – SOIREE
GIL GRISSOM: Et qui est-ce?
CATHERINE WILLOWS: Le frère de Tony Braun. Il a un poste, au Tangiers. C'est pour sa qu'il est dans notre fichier. C'est la loi.
GIL GRISSOM: Mais si il est de la famille pourquoi être passer par la trappe des chiens plutôt que par la porte?
CATHERINE WILLOWS: Allez savoir! Plus ont avances dans l'enquête plus le mystère s'épaissit... on a deux suspects arrêtés, et se ne sont pas leurs empreintes sur le ruban.
GIL GRISSOM: Ni sur la trappe des chiens, mais se sont celles du frère.
CATHERINE WILLOWS: Hum Hum
GIL GRISSOM: Bon alors appelle le labo...
CATHERINE WILLOWS: ...c'est fait! Sur le ruban se ne sont pas celles de Walt. Mais celles d'un inconnu...
JIM BRASS: Salut! J'ai envoyé le lieutenant Vega arrêté Walt Braun. Apparemment cet Jeanine Hewood circulait pas mal. Quand elle était pas chez Tony à jouer les régulières, elle était dans l'appartement du type aux lingots en train de jouer les amoureuses! Se qui les prives l'un et l'autre d'un allibi crédible!
CATHERINE WILLOWS: Se n'est pas pour sa qu'ils ont commis un meurtre! Ont a autre chose?
GIL GRISSOM: Rien de probant pour l'instant.
JIM BRASS: On libère la petite amie et Curt reste en prison jusqu'à se qu'on paye sa caution!
GIL GRISSOM: Oublié Curt! Oublié Jeanine! Oublié les suspects! C'est simple, ont doit comprendre comment un bout de rouleau de ruban découvert dans le camion de Curt Ritten c'est retrouvé autour des poignées de la victime.
CATHERINE WILLOWS: Mais sans les empreintes de Curt.
INTERIEUR – COULOIR DU POSTE DE POLICE – SOIREE – QUELQUES MINUTES PLUS TARD
CURT RITTEN: Comment tu a su que j'étais ici?
JEANINE EWOOD: Vient Curt ont se tire!
PONY RITTEN: (S'adressant a Jeanine Hewood) Alors tu me pique aussi mon argent!
CURT RITTEN: Pony...
PONY RITTEN: Je vient avec un chèque pour sortir MON mari de prison, et toi tu lui crie ''Vient curt ont se tire'' nan ma p'tite nan! C'est toi qui va te tirer! T'entend?!!!
(Catherine, Grissom et Brass observent la scène, sans rien faire...)
PONY RITTEN: Il te faut combien de mec HEIN???
JEANINE EWOOD: Moi au moins je sais les retenir les mecs!
PONY RITTEN: (En parlant a son mari) J'ai tout supporté de ta part! Les faillites, les mensonges, les flirts, j'en ai assez ok?? Alors tu choisi, c'est moi ou elle!
CURT RITTEN: Désoler Jeanine!
JEANINE EWOOD: Ouais! Je connais le refrain! Appelle moi!
JIM BRASS: Pour le payement des cautions c'est par la!
CATHERINE WILLOWS: Pas très original!
INTERIEUR – CASINO TANGIERS – DE NUIT
WALT BRAUN: Vous êtes venus jusqu'ici pour m'interroger sur une porte pour chiens? Ont auraient pu faire sa au téléphone!
GIL GRISSOM: Ha! C'est une manie! J'aime discuter de ces empreintes avec la personne!
WALT BRAUN: Tony m'a invité à dîner.
AGENT SAM VEGA: Il y a longtemps?
WALT BRAUN: Y a un moment.
AGENT SAM VEGA: Soyez un petit peu plus précis!
WALT BRAUN: 1 mois et demie environ. Ont a dîner chez Pierrot. Ont parlait d'affaire, puis je l'ait raccompagné.
FLASHBACK – EXTERIEUR – JARDIN DE TONY – DE NUIT
TONY BRAUN: Hé Walt! Tu peut venir ici une seconde?
WALT BRAUN: La clef ouvre la grille! Alors pourquoi elle n'ouvre plus la porte d'entrée?
TONY BRAUN: J'ai changé la serrure!
WALT BRAUN: Je suis donc passez par la trappe des chiens.
FIN DU FLASHBACK
WALT BRAUN: J'ai traversé la maison, et ouvert la porte, pour que Tony entre.
AGENT SAM VEGA: Riche comme il était, il n'a pas fait mètre l'alarme?
WALT BRAUN: Quand on est un Braun, rien est irremplaçable! Hin Hin!
GIL GRISSOM: Votre frère est irremplaçable. Qu'est-ce que vous avez à la jambe?
WALT BRAUN: Ha j'en sais rien, j'ai dû me faire piqué.
GIL GRISSOM: Permettez que je jète un oeil?
WALT BRAUN: Vous êtes dermatologue?
GIL GRISSOM: Entomologiste de formation! Je sais tout sur les petites bêtes!
WALT BRAUN: D'accord. Vous pourrez peut-être me donnez un remède? Sa me démange un max!
GIL GRISSOM: Se sont des piqûres d'aouta! Vous pouvez essayez le vernis à ongle c'est excellent contre le démangeaisons! Sa ne vous ennuis pas que je prenne une photos? C'est pour ma petite collection.
WALT BRAUN: Nan, si sa vous amuse!
GIL GRISSOM: (A Sam Vega) Ont a presque fini!
AGENT SAM VEGA: Vous habiter ou M. Braun?
WALT BRAUN: Dans la tour Shoshone qui se trouve sur la 15ème rue.
AGENT SAM VEGA: Vous travailler ici?
WALT BRAUN: Oui, je suis se qu'on appelle le boss de croupier.
GIL GRISSOM: Durant ces dernières 48 heures, êtes vous allez ailleurs que chez vous, ou ici?
WALT BRAUN: Nan! J'ai un vie plutôt rongée.
GIL GRISSOM: Elle risque de l'être encore plus!
VUES PANORAMIQUES DE LAS VEGAS – DE NUIT
INTERIEUR – VESTIAIRES – DE NUIT
GIL GRISSOM: Je veut votre mollet Nick! Montrez moi les piqûres.
NICK STOKES: Ha nan mais c'est pas utile, j'ai une crème.
GIL GRISSOM: Héé!
NICK STOKES: Bon bah d'accord, mais c'est vraiment rien je vous assure.
GIL GRISSOM: Vous êtes arriver a quelle heure chez Braun hier?
NICK STOKES: 9 heures 15 il me semble.
GIL GRISSOM: Et vous avez fouiller le jardin combien de temps après?
NICK STOKES: A peu prés 30 minutes.
GIL GRISSOM: Vous n'êtes pas le seul à avoir été piquer par les aoutas.
NICK STOKES: Qui est-ce?
GIL GRISSOM: Walt Braun! Il est maintenant 21h30, il y a peut près 36 heures que vous avez été piquer et 3 heures avant Tony Braun a été assassiné! Le parcourt d'un aouta est prévisible. L'aouta s'accroche à un folécule pileux, injecte dans la peau une enzine digestive, se qui entraîne la rupture les cellules périphérique! Et permet à cet insecte de les pompées! Laissant derrière lui un prurits tout rouge et tout enflé.
NICK STOKES: Conclusion?
GIL GRISSOM: Walt Braun, a menti! Nous avons la l'historique entomologique prouvant qu'il était chez Tony, le jour ou son frère c'est fait assassiné!
NICK STOKES: Heu, attendez patron! Je sais pas mais vous pourriez peut-être vous demander si quelques empreintes et quelques piqûres suffisent à le coffré pour meurtre? Hum?
VUES PANORAMIQUES DE LAS VEGAS – DEBUT DE MATINEE
INTERIEUR – SALLE DE REPOS – MATINEE
(Toute l'équipe du CSI déjeune ensemble)
GIL GRISSOM: Bon alors qu'est-ce qu'on a?
JIM BRASS: Ba, moi j'ai le mobile. Selon l'avocat de la famille, il se droguait!
CATHERINE WILLOWS: Dite-donc Jim! C'est pas très gentil de dire sa!
JIM BRASS: Bah c'est pas très gentil c'est vrai je sais que se sont vos amis, mais ils se droguaient a l'héro! Et c'est lui l'héroïnomane qui devait hériter de la fortune paternel.
SARA SIDLE: Et pas sont frère?
JIM BRASS: Ho Walt était hors-course on l'avait laisser à la porte!
CATHERINE WILLOWS: Ha oui?
JIM BRASS: Hé ouais! Mais Tony avait promis de s'en occuper de partager se qui lui reviendrais avec Walt, 50/50, de partager le tout! Y compris le pognon jusqu'à il y a 1 mois environ.
NICK STOKES: Quand Tony a changer d'avis et d'héritage de main.
CATHERINE WILLOWS: Mais alors quand Jeanine l'ex-strip-teaseuse affirme que tout lui appartient pour moitié, c'est en réalité plus qu'un simple voeux de sa part?!
WARICK BROWN: Ha! Le pauvre Walt n'a pas du apprécié que ses 50% soit ramené a 25%.
SARA SIDLE: Curt voulait donc rafler l'argent pour protégé les intérêts de Jeanine!
NICK STOKES: Bon alors? Qu'est-ce qu'ont a sous le nez et qui nous échappe?
GIL GRISSOM: Nan, qu'est-ce qui reste comme éléments non exploités.
CATHERINE WILLOWS: J'ai prélevé un échantillon d'ADN sur Walt Braun, et je l'ait remis a Greg.
SARA SIDLE: J'ai noté deux ou trois points non résolu sur la liste des priorités, empreintes sur rouleaux, résidus adhésif, et l'attache de la boucle.
NICK STOKES: Ou tu l'a trouvée?
SARA SIDLE: Dans le salon près du corps.
GIL GRISSOM: En cherchant à qui elle est.
CATHERINE WILLOWS: Il nous faut l'ADN de Jeanine!
EXTERIEUR – RESIDENCE DE JEANINE HEWOOD – JARDIN - FIN DE MATINEE
JEANINE EWOOD: Si vous voulez prélever mon ADN allez-y mais se sera un coton de tige de fichu vous vous tromper d'adresse.
GIL GRISSOM: Mademoiselle Hewood? Vous avez bien les oreilles percées?
JEANINE EWOOD: Oui mais je vous est déjà dit que je ne porte pas de clou d'oreille! J'en ait pas portée depuis... haaa pouff, le collège...
CATHERINE WILLOWS: Hum Hum...
JEANINE EWOOD: Est-ce que je peut jeter un oeil?
(En examinant l'attache...) Vous voyez c'est une attache! Une attache de clou d'oreille, je ne porte pas de clou d'oreille! Se que j'aime c'est les grosses boucles vous savez genre chandelier elle bougent avec moi elle sont sur une tige et sans attache...
CATHERINE WILLOWS: ... vous avez finie?? Ouvrez la bouche! Et ne refermez pas, je ne voudrait pas que vous l'avaliez!
GIL GRISSOM: Et vos amies filles? Ou... ou celles de Tony, est-ce qu'elle portent des clous d'oreilles?
JEANINE EWOOD: Ecoutez, règle n°1, aucune bonne femme n'entrait à la maison. Tony avait les yeux baladeurs et les poches pleinent de fric inutile de tenter le diable.
CATHERINE WILLOWS: Et la bonne?
JEANINE EWOOD: Nan, règle N°2, costaud, la cinquantaine passée, ni maquillage, ni bijoux et étrangères.
CATHERINE WILLOWS: Wouaa, vous n'avez rien laissez au hasard!
JEANINE EWOOD: Nan! Je suis ici chez moi! J'ai rien fait de mal. Josie était la, et fait très bien le ménage.
GIL GRISSOM: Elle passe souvent l'aspirateur?
JEANINE EWOOD: Tout les jours. Sauf son jour de congé.
GIL GRISSOM: Le jour de la mort de Tony!
JEANINE EWOOD: Hum
INTERIEUR – LABORATOIRE ADN – JOURNEE
GIL GRISSOM: Si la bonne est aussi consciencieuse que Jeanine le dit...
CATHERINE WILLOWS: ...l'attache a dû être perdue se jour là.
GREG SANDERS: Et voilà!... C'est pas si sûr...l'attache n'est pas celle de Jeanine, mais elle était a l'oreille d'une femme.
CATHERINE WILLOWS: Donc la régle n°1 a été violée il y a eu une femme chez eu. Est-ce qu'ont pense a la même chose?
GIL GRISSOM: Celle qui la perdue a laisser ses empreintes sur le bout du ruban. Quelle est la seule autre femme de cet affaire?
CATHERINE WILLOWS: Elle habite Carsonn City...
GIL GRISSOM: ... sauf en se moment.
CATHERINE WILLOWS: Elle a eu accès au camion de Ritten...
GIL GRISSOM: ...elle lui a fait une scène dans les locaux de la Police.
CATHERINE WILLOWS: Gare aux femmes trompées...
INTERIEUR – SALLE DES INTERROGATOIRES – DANS L'APRES-MIDI
PONY RITTEN: Se n'est pas à moi! Je ne met pas de boucle d'oreille!
GIL GRISSOM: C'est amusant, je vient justement d'en apprendre un rayon sur les boucles d'oreilles. Et j'ai vu que vous vous etiez fait percé, les oreilles.
PONY RITTEN: Et alors?
CATHERINE WILLOWS: Quand on ne porte pas de boucle d'oreille pendant un certain temps, les trous se referment.
JIM BRASS: Vous seriez d'accord pour qu'on prélève un échantillon d'ADN sur vous afin de confirmer votre version? Ou de confirmer la notre...
PONY RITTEN: Vous ne prélèverez rien du tout!
GIL GRISSOM: C'est pas grave Jim! Nous avons se qu'il faut!
CATHERINE WILLOWS: Vous auriez dû laissez votre mari moisir en prison. Nous avons relever vos empreintes, sur le chèque de paiement de sa caution!
GIL GRISSOM: On les a comparez aux empreintes non identifiées du ruban adhésif trouvé sur les lieux du crime...
CATHERINE WILLOWS: Et tout comme une paire de boucle d'oreille... elles sont identiques!
JIM BRASS: Vous vous trouviez donc chez Tony le matin de sa mort!
FLASHBACK – MEURTRE DE TONY BRAUN – JOURNEE
(On y voit Walt Braun et Pony Ritten entrer dans la maison de Tony Braun)
FIN DU FLASHBACK
FLASHBACK – MEURTRE DE TONY BRAUN – JOURNEE
(Walt Braun et Pony Ritten en pleine action. Au moment du meurtre Pony Ritten perd sa boucle d'oreille)
FIN DU FLASHBACK
FLASHBACK – MEURTRE DE TONY BRAUN – JOURNEE
(Walt Braun met a terre Tonny Braun et lui fait avaler la substance avec le xanax)
FIN DU FLASHBACK
GIL GRISSOM: Vous savez? Quand on fait le métier que nous fesont, il arrive parfois que... nos plus belle trouvailles se fassent grâce aux plus anodines des circonstances. Se jour là, la bonne était de congé. Mais pas le jardinier.
CATHERINE WILLOWS: C'est comme sa avec le meurtre! On ne prévoit jamais un plan de rechange!
GIL GRISSOM: Les chiens on conduit le jardinier directement à vous.
FLASHBACK – MEURTRE DE TONY BRAUN – JOURNEE
(On entend les chiens et on voit Walt et Pony inquiets...)
FIN DU FLASHBACK
GIL GRISSOM: Vous avez dû improvisés! Et l'achever... Le jardinier est venu à la fenêtre, mais ils ne vous a pas vus!
FLASHBACK – MEURTRE DE TONY BRAUN – JOURNEE
(Walt et Pony sont cachés à coté de la fenêtre...)
FIN DU FLASHBACK
GIL GRISSOM: Vous avez dû retiré le ruban adhésif des poignets de Tony, et fait croire à une overdose.
CATHERINE WILLOWS: Se que je ne comprend pas très bien, c'est que vous et Walt vous ne fréquentiez pas le même genre de personnes... Comment vous êtes vous rencontrés?
(Plan fixe sur Pony Ritten qui ne dit rien...)
JIM BRASS: Vous savez quoi ma belle? Si vous dite rien ont ne vas pas pouvoir s'entendre!
(Plan fixe sur Pony Ritten qui ne dit toujours rien...)
INTERIEUR – PRISON DU LVPD – DANS L'APRES-MIDI
WALT BRAUN: C'est sa l'ennui avec mon père, il ne nous a jamais donner de conseils. Mais il avait toujours une histoire a racontée. Le scorpion et la grenouille par exemple.
Le scorpion voulant traversé la rivière demande a la grenouille de le porté, celle-ci lui dit '' Je ne saurait faire confiance à un scorpion''.
L'autre lui rétorque '' Mais si voyons'' et bondi sur le dos de la grenouille, au milieu de la rivière le scorpion pique la grenouille, elle le regarde et dit: '' Pourquoi a tu fais sa? Maintenant ont vas mourir tout les deux! '' Le scorpion lui dit alors: '' Haaa, c'est plus fort que moi! Je suis un scorpion!''
Si Tony n'avait pas donner une soirée, elle et moi ont se serait jamais rencontrés! Jamais parler.
FIN DU FLASHBACK – DANS UN RESTAURANT – DE NUIT
(On y voit comment Pony et Walt se sont rencontrés...)
FIN DU FLASHBACK
GIL GRISSOM: C'est là que l'occasion inespérer c'est offerte a vous. Tony vous avez écartez du testament. Et Pony, la femme trompée n'avait qu'une envie, se venger.
JIM BRASS: Pauvre grenouille...
EXTERIEUR – LE STRIP DE LAS VEGAS – DE NUIT
(Catherine et Sam Braun se promènent...)
SAM BRAUN: Tu sais... que... tout sa aurait pû être à lui et à Tony (En parlant des casinos et divers hôtels...)
CATHERINE WILLOWS: Arrête tu n'y est pour rien!
SAM BRAUN: Bien sûr que si! J'ai commis une fautes majeure... J'ai aimé un de mes fils plus que l'autre.
CATHERINE WILLOWS: C'est humain de faire sa. Nul ne peut allez contre ses sentiments.
SAM BRAUN: Mais on peut les cachés! Je n'est rien caché... Se sont mes fils! C'est moi qui les ait fait, qui les ait élevés! Et l'un des deux tue l'autre...
CATHERINE WILLOWS: Sam ! Tu m'as encore moi!
SAM BRAUN: Tu sais! J'aurais dû épousé ta mère!
CATHERINE WILLOWS: Sachant que je devait avoir, 6 mois quand vous avez eu le coup de foudre, si sa avait dû se faire, sa serait fait depuis longtemps!
SAM BRAUN: Le destin en a voulu autrement... Le destin en a voulu autrement...
Fait par Kevin10